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samedi 21 novembre 2009

Le pull over rouge


Comme le taureau (je suis né fin Avril, notez le pour les cadeaux) au milieu de l'arène qui doit éviter le coup fatal après s'être battu jusqu'au sang, je dois parer à toutes les attaques des banderaiguilles à tricoter que les tricoteuses en chignon et en tenue brodée chercheront à me planter dans le dos, dans les côtes (de boeuf). Les oreilles ne passeront pas dans le col, et une chance que la taille du patron trouve ses limites à la taille de la victime, on pourrait craindre le pire, sa virilité, son sex-appeal, sa classe en ont déjà suffisament pris un coup comme ça. Le public sera nombreux pour huer la bête parée d'une tenue qu'il n'a pas choisi, pour siffler le col en V dans le dos, les motifs symétriques et synonymes de déprime bovine (oui, les vaches dépriment, il faut le savoir, avec les trains à grande vitesse, elles se sentent dépassées, un peu comme moi face à ce magnifique pull de 77 centimètres d'épaisseur que j'ai beau essayer de plier mais qui n'entre pas dans mon placard, je lutte face au sourire narquois de cet enchevêtrement laineux qui me laisse à penser que le sac de couchage qui ne rentrera plus jamais dans sa housse une fois déplié est son cousin éloigné). Les dégoûts et les couleurs, on le sait ne font pas bon ménage, une preuve supplémentaire car soi-disant que le brin de laine a la même couleur que le ponchon côtelé qui vient de m'être offert? Oh la vache! Mes naseaux fument de rage, mes nerfs sont en pelote, ce match matadorette - bête semi-domestique n'aura qu'une manche et on connaît déjà le vainqueur! La muleta est à mailles et tend plutôt vers le filet (de boeuf? non, de pêche) dans lequel je me suis pris les sabots! La mise à mort est pour bientôt, mon dernier mugissement s'adressera aux matoux qui eux seuls peuvent mettre un terme à cette folie destructrice, eh les mecs, plutôt que d'être chaudement couchés sur les genoux des matadorettes mohairisées, déroulez leur le grand jeu!

lundi 9 novembre 2009

Maçon en talon


Que les voleurs à la tire se méfient. Désormais, le sac à main de nos compagnes, de nos amies, de la gente féminine en général est à reclasser en arme de main, ou de coude, ou d'épaule ou, ou, ou... Les modèles étant tellement nombreux et pas seulement en rayon, ils peuvent révéler un véritable arsenal derrière une féminité de chaque instant. Ah, les femmes, on leur pardonne volontiers souvent leur inaptitude aux lois des mathématiques appliquées à la mécanique. C'est bien mal les connaître car si elles optimisent le volume interne du sac du jour (une addition d'intégrales triples leur permettant de déterminer aisément la quantité de cc disponibles, petites poches intérieures comprises, j'en ai même vu tomber face contre terre (pas les femmes, les sacs, quoi, y'a des sacs chez....goujats, sors de ce blog!) et ne rien perdre de leur contenu, c'est magique et 3,14 c'est tout, double parenthèse un peu comme la poche extérieure du sac adôré), ça n'est pas par méconnaissance des règles élémentaires du rangement (bien mal placé le jetteur de chaussettes de jeter, ça jette un max, tu vas te faire jeter, l'opprobre sur sa moitié qui fait tout cuisine comprise, le sac à pain est à main et c'est bien quand il est plein), mais par maîtrise totale des lois de la dynamique, du calcul inertiel, de la conservation de la quantité de mouvement, de l'énergie cinétique, et surtout du transfert de masse dans ta g..... A côté, Thierry la Fronde n'est qu'un sale gosse qui joue avec des cailloux! Bref, le sac à main parpaings est né. Et vous n'imaginez pas à quel point les liens (ou joints, ça reste dans le domaine du bâtiment) sont armés entre le compagnon de madame et le ciment (en l'occurence pas du couple). Elles y conservent des briquettes entière de cartes de fidélité.....

Calendrier perpétuel



L'avantage d'un mercredi férié, c'est que le lundi se transforme rapidement en jeudi (même si je saurais resté vigilant et prudent ,http://sourcedhumeurs.blogspot.com/2009/03/jattends-tlahuizcalpantecuhtli.html). L'inconvénient, c'est que dans ces mêmes conditions temporelles, le week-end ne durerait qu'une seule journée puisque le lundi étant le jeudi, alors le jeudi deviendrait à son tour (eh oui, le temps tourne) le dimanche que nous devrions poser en congés afin de conserver toutes les saveurs d'une grasse matinée dominicale. Ceci étant, le lundi du jeudi apporte ces sensations de moindre stress, puisque l'on sait que le mardi (le lendemain du lundi) qui se vendredise se terminera plutôt bien, offrant une soirée plus détendue et une possibilité de grasse matinée dominicale le mercredi. Ouais mais alors, le mercredi se trouve relégué au rang du jour rabat-joie puisque le soir venu, on a l'impression de finir le week-end et de devoir rembaucher. Et lorsque l'on connaît toutes les douleurs partagées par des milliers de contemporains le soir venu après Stade 2, imaginer de vivre 2 dimanches soirs dans la même semaine, c'est vraiment du sport (vague rappel avec l'émission télévisée sportive, on fait ce qu'on peut ce soir, de toutes façons, je vais pas passer 3 jours à sortir un truc aussi pourri). Autre désagrément, c'est de croiser le désormais incontournable "comme un lundi" deux fois en moins de 4 journées. Arrêtez avec ça, trouvez autre chose! Le lundi, c'est le vendredi du mardi, ça compte non? Ben si, puisque si mardi est samedi (genre, décision de rien foutre, de poser une journée, de se faire porter pâle, d'oublier de mettre le réveil, de perdre la mémoire), alors lundi soir se transforme en début de week-end, avec le bon vieux pizza bière ou pizza rosé copains canapé. Et alors mercredi devient dimanche et hop, la boucle est bouclée sauf que le problème du double-lundi demeure. Conclusion, le week-end est perpétuel, il suffit de profiter de chaque jour, de vivre un peu plus dans l'instant, de croire en un avenir avenant et d'attendre les jours meilleurs en cas de difficultés!

dimanche 8 novembre 2009

Un virage de trop


Là, c'est trop! Les lacets de mes chaussures m'ont filé un coup de pompe. Grosse fatigue pédestre, à l'attaque des lacets de la côte du quarantième rugissant, pieds étranglés et meurtris dessus et dessous. Je n'ai jamais eu la bosse des bosses, rarement le boss lorsque le dénivelé joue les chameaux avec le chrono, avec ma petite horloge mentale, ses aiguilles s'étant plantées dans la plante des pieds. J'accuse le coup de pied qui ne vient pas pour me botter l'arrière-train, le mien de train arrivera assurément en retard, et le contrôleur que je suis devra revisser sa casquette à l'endroit et n'aura même pas la force du coup de sifflet. Lassé d'avoir à relever la tête qui me tourne plus que de coutume, las des sévices bitumés, je masse mentalement mes petons, l'intensité des douleurs se dépasse, les muscles s'encrassent, le dossard se déclasse, je reste sur place et demande grâce. Ce délasser n'est pas pour tout de suite. Plus assez crampon, je trépasse, je ne vois plus que par le petit oeillet, j'ai trop tiré sur le lacet, la boucle est bouclée.

jeudi 5 novembre 2009

Sauvons AMK 76883


Eh mec, il te manque une case (Tom, mais qu'est-ce que tu fous là, ça faisait un moment dis donc, qu'est-ce que tu deviens, tu as toujours compté pour moi,.....)! Tu vois bien qu'elles sont de taille limitée et qu'avec plus de 17 millions d'unités par page, pourquoi aller programmer une formule interminable faisant appel à plusieurs dizaines de fichiers dispersés sur les serveurs planétaires dans ce petit rectangle que les plus malins sauront décorer de couleurs automatiques, de caractères illisibles (mais que fait la police?), de commentaires plus incompréhensibles que le contenu de la case en question. Le but du jeu est de décomposer en opérations simples l'objet du calcul plutôt que de décomposer en fonctions complexes l'utilisateur dudit calcul! Penché sur l'écran pour essayer d'y comprendre quelque chose, les maux de reins (un calcul ?) ne tardent pas à diffuser jusqu'aux cervicales, le mental (un calcul?) sera bientôt engourdi! Et ce ne sont pas les messages d'insultes du genre #DIV/O! qui vont vous aider à y voir clair. Môssieur, je divise par zéro si je veux, et d'abord, pourquoi il n'y a pas de ligne 0?! Et le retour du genre #REF! n'arrange rien. Moi, le tableur qui me parle comme ça, je ne le calcule même pas, ou alors je lui demande de mettre un bémol. Et puis, la référence n'existe pas, c'est une notion totalement abstraite qui tuera le monde, si, si vous verrez, la référence nous aura tous. A vouloir que tout soit aligné sur la référence, le monde sera triste, chacun et chacune dans une case identique, dans le même espace, la fusion de deux cases contigues entraînant la mort de l'une d'entre elles! Bonjour le tableau. Et franchement, utiliser un tableur pour que la date et l'heure s'affichent, c'est renoncer à des siècles de tradition hélvétique (rien à voir avec le tableau croisé dynamique et pour cause, toutes mes excuses aux suisses petits ou grands, mais ça m'est venu comme l'envie de calculer la somme du pourcentage de la moyenne du nombre d'âneries contenues dans ce blog et les autres). Bouclons la boucle (je hais le message d'alerte de référence circulaire. Un tableau avec des cases à angles droits ne tourne pas rond, pas la peine de balancer ce complexe sur les autres. Référence circulaire...? Encore la référence, mais changez d'onglet, saignant ou bien cuit, ne trouvez-vous pas que le tablier à carreaux du boucher a quelques similitudes avec le tableur? Serions nous cernés? Le crémier n'est pas loin avec son camembert, quelle cuisine) en revenant au titre de ce blog. Je pose la question (répondez par VRAI ou FAUX, ça restera dans le thème du moment), qui a déjà utilisé volontairement la case AMK6883? Ne pensez-vous pas qu'elle aussi a le droit de voir les petits pixels (encore des matrices derrière tout ça, des calculs, on ne s'en sortira jamais!!!!!!) qui la composent s'animer? Prenez l'engagement ici-même de donner sa chance à cette case perdue. Pour finir, vous noterez le nombre impressionnant de parenthèses utilisées ce soir et rendant assez difficile la lecture de cette colonne de mots, ne cherchez plus celles qui vous manqueront demain....

lundi 2 novembre 2009

Groin trop n'en faut


Très franchement, la côte de porc n'atteint pas les sommets de la gastronomie française. Beaucoup moins fine que la truffe ou que le produit frais d'un port breton, elle embarrasse quelque peu le vorace carnivore qui s'attaque à ce plat qui a certes encore la cote lors des soirées barbecue. Revenons quelques millénaires en arrière, comme si nous nous laissions aspirer par une spirale rétrotemporelle en forme de tire-bouchon (admirez l'allusion porcine galactique, la fameuse APG que le docteur Spock aimait à balancer à toute extra-terrestre bien gaulée). La côte d'Adam ne fut elle pas la première pièce du puzzle féminin complexe (le pfc, le fameux pfc, que les extra-terrestres bien gaulées aimaient à balancer à Spoke vert d'embarras jusqu'au bout des oreilles, notez que certains mangent les oreilles de porc, jamais goûté, bof, c'est pas le pied comme plat). Bon, bref, la côte, c'est le début des difficultés (Virenque, sort de ce blog!), le risque de ne pas être dans son assiette, de tomber sur un os plus ou moins pointu, de ne pas pouvoir accéder au meilleur sans se retrouver avec le nez luisant de graisse et les doigts glissants. Avouez qu'il fallait y penser, à ce lien intime entre la côte de porc et les relations homme-femme au quotidien. Pourtant, bibliquement parlant c'était écrit et au quotidien, on en croise du cochon, du gros porc, du goret, de l'amateur de bauge. Sans oublier les glands et les truffes....