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lundi 2 novembre 2009

Groin trop n'en faut


Très franchement, la côte de porc n'atteint pas les sommets de la gastronomie française. Beaucoup moins fine que la truffe ou que le produit frais d'un port breton, elle embarrasse quelque peu le vorace carnivore qui s'attaque à ce plat qui a certes encore la cote lors des soirées barbecue. Revenons quelques millénaires en arrière, comme si nous nous laissions aspirer par une spirale rétrotemporelle en forme de tire-bouchon (admirez l'allusion porcine galactique, la fameuse APG que le docteur Spock aimait à balancer à toute extra-terrestre bien gaulée). La côte d'Adam ne fut elle pas la première pièce du puzzle féminin complexe (le pfc, le fameux pfc, que les extra-terrestres bien gaulées aimaient à balancer à Spoke vert d'embarras jusqu'au bout des oreilles, notez que certains mangent les oreilles de porc, jamais goûté, bof, c'est pas le pied comme plat). Bon, bref, la côte, c'est le début des difficultés (Virenque, sort de ce blog!), le risque de ne pas être dans son assiette, de tomber sur un os plus ou moins pointu, de ne pas pouvoir accéder au meilleur sans se retrouver avec le nez luisant de graisse et les doigts glissants. Avouez qu'il fallait y penser, à ce lien intime entre la côte de porc et les relations homme-femme au quotidien. Pourtant, bibliquement parlant c'était écrit et au quotidien, on en croise du cochon, du gros porc, du goret, de l'amateur de bauge. Sans oublier les glands et les truffes....

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