Référencement de blogs et liens publicitaires

lundi 15 février 2010

Slalom sucré.


Ca y est, les JO battent leur plein (il faut aussi un batteur pour monter les oeufs en neige mais, bien que le thème de cette parenthèse se rapproche de l'événement planétaire, c'est un autre sujet vers lequel nous essayerons de ne pas glisser) au pays de l'érable, de la cabane à sucre et de la tire sur glace. Les rois de la glisse s'en donnent à coeur joie, dévalent les pentes avec plus ou moins de contrôle et parfois avalent la neige (qui a commandé des îles flottantes?, deuxième passage entre les parenthèses et on dérape déjà, l'arrivée est encore loin). "Zut, coach, j'ai glissé" plaidera le pauvre bougre alors qu'on tentera de le démêler du filet à provisions planté au bord de la piste. Le plat (et après, on aura un dessert? de toute façon, le sel est vivement déconseillé dans pareilles circonstances, nouveau passage entre les portes, slalom géant) n'existe pas dans les compétitions de ces oranges givrées (la couleur des combinaisons de l'équipe canadienne s'en rapproche et manque cruellement de goût). Du haut du rocher enneigé, la pente est requise, la gamelle (encore? oui, ce soir j'ai faim, le froid appelle le sucre qui lui-même m'appelle régulièrement) parfois exquise. La technologie du ralenti, c'est comme le rabe à la cantine finalement. Encore et encore, jusqu'à frôler l'indigestion. Gourmandise sadique, régal des yeux, indigestion d'images de bûches de Noël (un skieur amateur) ou pas, la crème de la gauffre nous nourrira pendant une bonne quinzaine. Et cerise sur le gâteau (la forêt noire n'est pas le dessert préféré du descendeur pourtant) les exploits sportifs mériteront le sabrage du champagne et là aussi, une bonne descente constituera un avantage pour les médaillés aux concours agricoles ou pas. Bref, on a pas fini d'en bouffer pendant deux semaines, tu parles d'un régime!

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire