Soldes et métallographie

En ces périodes agitées de soldes, une question me vient à l'esprit. Y-a-t'il un rapport entre la métallographie qui traite en particulier des propriétés cristallines des métaux et la carte bleue de miss Soldes? Peut-on parler de température d'austénisation pour le rectangle plastifié (oui je sais, nous nous éloignons des métaux)? En fonction du pourcentage de remise, est-ce que le système dépensier compulsif de miss Soldes s'organise selon une structure cubique à face centrée du type de la ferrite (faire vite en langage des acharnéeeeees des soldes) ou bien dissout-elle le carbone (duplicata du récépissé de carte bancaire oblige) en adoptant une formule plus cassante (surtout à la réception du relevé de comptes) du type cémentite. Enfin, peut-on croiser miss Soldes dans un état austénitique stable seulement à haute température (d'où l'expression faire chauffer la carte bleue) face aux milliers d'opportunités de dépenses (que dis-je d'économies effectuées à chaque achat)?

Subitement, un doute m'assaille, et si ce pamphlet se rapprochait un peu trop de la blague d'ingénieur (cf article précédent)? Analyse et réponse prochainement...